a Psyché & Gabriel a Un temps exécrables aux premiers abords, une pluie sans fin, un vent capable de soufflé toutes les particule de poussière qui s'amassent dans les rues de cette grande ville, de la grosse pomme. Les cheveux trempé, les vêtements humides qui colle au corps comme une sorte de ventouse qui serait prêt à vous emportés dans les limbes. Les gouttes s’amassent sur ma mèche et continue leur trajet en parcourant mes joues puis se glisse tout en délicatesse sur le bout de mon menton pour enfin tombé au sol dans un éclat. Je laisse mon regard vaguait dans le ciel, en les fermant quelques peu par simple réflexe, les nuages couvrent de toutes leurs masses ce ciel qui doit être d’un bleuté derrière et si nous souhaitons aller encore plus loin, un endroit où certains pensent qu’un homme à crée toute chose sur cette terre, une entité plutôt, je n'écoute pas c'est racontars et je ne crois en aucune entité, il aurait crée les animaux, la matière, la terre, les planètes, le système solaire et tant d’autre chose qui à mon sens est totalement impensable et complètement puérils. Les scientifiques on prouvait que le big bang à crée la terre il y à cela un bout de temps, dans une gigantesque explosion totalement fait par le hasard, mais les croyants proclament que leur dieu la crée, quelle réponse sans fondements et totalement pourvues de logique, ces pensées sont futiles, rien ne prouve qu’une divinité est put crée tout ceci et rien ne le prouvera. Le plus étrange, c’est que ces adeptes disent que c’est lui qui nous à crées, qui nous insufflé la vie, donné une forme et des idées, mais si nous reprenons l’hypothèse à son fondement, ne serait-ce pas nous qui lui à donner un nom, des droits, des idées, des histoires, qui l’avons inventé, qui à eut l‘idée de penser à lui ? Nous... Au fondement de l’espère humaine, un homme à voulue ce réfugier, ce dire qu’après la vie il y à la mort, qui sont guidé et qu'ils mèneront une nouvelle vie, une réincarnation, quelles inepties… La peur engendre beaucoup de chose et beaucoup de conneries. Les bouquins telles que la bible, le Coran et les autres qui tracent les exploits d'un homme, ces inepties ont-elle un véritable fondement, une réelle raison d’être, non. Si nous parlons de la religion à notre temps, elle n’engendre que des guerres, des désaccords, des famines et tant d’autre chose, toutes ces personnes qui offre des montagnes de bien à l’église, c’est tout à fait décevant et incompréhensible, mais qui suis-je pour prononcer de tel parole n’est-ce pas ? Je suis celui qui s'idolâtre telle qu'elle, vantard, non, je ne le suis pas... Réaliste, ou je le suis... Tout ce que je sais, c’est en laissant de côté les sentiments, en ne s'accrochant pas à de stupides personnes qui vous pourrissent la vie ou que vous trainez comme boulet, Sa ne sers à rien… J'épilogue sur ma vie, mais il y à rien à dire, je préfère m'amusai sur le présent et le futur, je peut enfin me sentir exceptionnel et me sentir libre, la vie vaut la peine d'être vécu, mais elle est si facile à enlevé. Rien que tous ces gens que je bouscule depuis tout à l'heure dans la rue, est-ce qu'un de ces gens vaut vraiment la peine ? Personnellement, il faudrait éradiqué tous ces gens, ils n'apportent rien au monde et ne seront pas là à la prochaine évolution de l'espèce, on ne fait que se ralentir avec c'est gens là, ce sont des parasites, des choses qui s'accrochent à ce qu'ils peuvent pour survivre alors qu'ils mourront tous. S'accrochait alors qu'ils savent qu'ils vont en finir avec la vie avant tout le monde. Je ne me crois pas au-dessus de la plupart des hommes, je le suis, c'est sûr. Mes pensées s'estompèrent, comme ça, j'ai juste envie de me défoulé comme ça. Je pousse violemment les gens devant moi, il m'énerve, tous amassait dans ces rues, ça me gonfle, j'aimerais en tué quelques un, mais je n'ai pas encore capté un pouvoir dans les environs. Je continue à les pousser, mais un abrutis d'humain commence à me hué, il est à quelques mètres de moi, rien de plus. D'un simple coup, je lui balance un coup de poing qui vint se fracassé sur sa joue, un lampadaire vint stoppé sa chute, il est complètement sonné et daigne plus ouvrir sa gueule, j'ai horreur des gens qui me résiste et qui me parle mal. La foule c'est rassemblé autour de lui, en étant affolé et en ne comprenant pas la situation, je souris légèrement et les regardent tous, ils me font vomir... Je reprend ma route sans réelle but et personne ne souhaite me stoppé, ils sont beaucoup trop choqué pour...Je balance mon regard de droite à gauche pour voir si il y à des flics, j'en ai pas peur, mais c'est toujours mieux de se fondé dans la masse. J'arrive à un croisement, mais une gamine me heurte d'un coup. Je la regarde et je continue ma route, je sen mes mains se parcourir subitement de froid comme si mon corps était complètement gelé ou plongé dans l'eau. Je regarde mes mains, elles n'ont rien de spécial, mais je sent le froid se déversé, si c'est cette gamine qui est la cause de ceci, je devrais peut-être la tué...

J'ai l'impression d'être immatériel et de ne plus rien sentir, la froideur enveloppement dans un long manteau de gel, comme si j'étais ensevelis sous une quantité de neige. Je n'avais jamais ressentis ça avant, jamais, est-ce que c'est un pouvoir que je ne connais pas, intéressant, en tout cas il va falloir que j'essaye de le contrôlé pour évité de me faire submergé. Je l'examine de haut en bas, elle ne m'a pas l'air d'être un de ces abrutis de good pulse. J'en ai horreurs, ils se prennent pour des superhéros alors qu'ils n'ont aucun mérite, ils me donnent envie de vomir, de toute façon si cette gamine est l'un deux, je vais pas me gène pour la tué. Je m'approche d'elle très près en la regardant dans les yeux, en la fixant, rien qu'a sa remarque, j'ai juste envie de la frappé, mais je préfère rangé ma rage en moi, j'ai déjà assez ébruité mon attaque de tout à l'heure, de toute façon je suis sûr que les flics ou un truc du genre vont pas tardé à arrivé, mais à ce moment-là je serais loin. ¤ Fais plus attention à toi, un accident est vite arrivé... Je n'aime pas sa façon de faire et de parlé, j'espère pour elle qu'elle n'est pas assez téméraire pour joué la belle. Je me retourne d'un coup en la regardant une dernière fois et je part dans la direction opposé, je ne souhaite pas resté à parlé avec une gamine. Je n'ai pas peur de c'est flics, mais j'ai d'autres chose à faire. Bizarrement, plus je m'éloigne de la fille plus mes mains retrouvent leurs chaleurs habituelles, le calcul est simple. Elle se sert de la glace, c'est loin d'être une coïncidence, je devrais peut-être la tué, si elle comprend l'essence même de son pouvoir elle risque de me posé un sérieux problème plus tard, je dois éliminé tous les gêneurs. Quand je rabat mon regard sur cette gamine, je vois qu'elle est juste à côté de moi. Si elle commence à me suivre, je risque de perdre mon sang froid, les gens qui me colle ont eut une fin bien misérable. Je ne sais pas ce qui m'empêche de de la tué, mais je doit continué à marcher. Pas par pas j’avance à pas feutré dans cette ville, New York est connus pour être peuplé est peut-être que je me faufilerais rapidement dans la foule pour pouvoir repassé inaperçus, loin de là la peur d'être découvert, mais si jamais je veut pouvoir laisser cours à ma liberté tranquillement tout en faisant ce que je veux, je dois savoir disparaitre au bon moment. La tête dans mon manteau, j'essaye tant que je peux de me réchauffer, la pluie et la froideur de dehors me mord le visage comme des crocs, si assidue et si violent. Je regarde à droite à gauche pour essayer de repérer un endroit où je pourrais m'arrêtai. Les mains dans les poches, j'esquive tant que je peux les passants qui marchent dans la rue, en me frayant un chemin dans les rues les moins peuplés, je jette un œil derrière moi, j'aperçois vite fait un flic qui cherche quelqu'un, merde, ils m'ont déjà trouvé, on peut même plus tué des gens sans que des connards viennent vous pourrir la vie. J'accélère le pas et ne fait pas attention à ce qui m'entoure, je pousse les passants en me frayant un chemin dans la foule et j'essaye de m'esquiver le plus possible vers une ruelle... Je suis toujours en train d'essayé de trouvé un endroit pour me caché un moment pour qu'on m'oublie, mais rien, surtout qu'ils se rapprochent de plus en plus et qu'ils commencent surtout en avoir un peu plus. Ils sont cinq à intensifié les recherches, si sa continue, je vais me faire encerclé, mais de toute façon, ils ne m'attraperont pas, je les anéantirais tous si il se posteront sur mon chemin, ils crèveront tous...